
Samhain, Halloween, Dia de Los Muertos, la Toussaint : 4 cultures, 4 façons de célébrer la Mort
SAMHAIN, quand l’invisible s’invite au jour de l’an celte
La nouvelle année celte
On prête à la fête irlandaise de Samhain des origines celtes, même si cette question est controversée. En tout cas, cette assemblée de fin d’année remonte à des millénaires ! Aujourd’hui, elle est toujours un sabbat majeur de l’année païenne. Samhain marque la fin de l’année celte et de la “saison claire”. On célèbre donc aussi l’entrée dans la nouvelle année et la “saison sombre“. En effet, l’année celte se découpe en 2 grandes saisons : “claire” et “sombre”, qui s’alternent à Beltane (1er mai) et Samhain (31 octobre). Nimbée de mystères, la nuit du 31 octobre est hors-temps, un moment suspendu entre la vieille année qui se meurt et la nouvelle encore en gestation.
Le départ du dieu cornu Cernunnos
D’un point de vue mythologique et symbolique, Samhain est le moment où le Dieu-Cerf de la fertilité, Cernunnos, rentre dans le monde souterrain pour l’hiver (pour les Celtes, l’hiver commence à Samhain). C’est la représentation spirituelle des végétaux qui disparaissent mais existent toujours sous terre, renforçant leurs racines pendant l’hiver. Devant le départ de Cernunnos, on nourrit donc l’espoir de la renaissance, et la confiance dans le retour de la lumière et du dieu au printemps.
Une semaine de cérémonies
Samhain n’était pas seulement un jour, mais une période d’une semaine de cérémonie, qui commençait 3 jours avant le 31 octobre, et continuait 3 jours après. On y respectait une trêve dans tout conflit, guerre ou conquête, ainsi que l’arrêt des activités agricoles et artisanales. Après la célébration des héros et des défunts les 2 premiers jours, au 3e jour on éteignait les feux de chaque foyer, pour les rallumer à partir d’un unique feu rituel, allumé par le druide au centre du village. Un feu sacré et protecteur, dont la flamme était transmise à chaque famille. Le 4e jour, on fêtait le jour principal de Samhain, celui où les morts et les Dieux rendaient visite aux vivants… et réciproquement, lors des rituels. Enfin, les 3 jours suivants étaient consacrés à des festivités dans la communauté.
Le cycle Vie-Mort-Renaissance
C’est l’une des deux croyances principales qui sous-tendent Samhain. Comme dans bien d’autres cultures et comme dans la nature, la vie est considérée comme cyclique : une alternance infinie de Vie -> Mort -> Renaissance. En cette fin d’Automne, on fait l’expérience symbolique de la mort : à l’image des végétaux et de la lumière qui déclinent, pendant Samhain on accepte de se dépouiller de ce qui doit disparaître de nos vies. Dans ce mouvement, on se souvient et on honore ce qui a été pour s’en libérer : nos morts, notre passé… pour mieux renaître à la nouvelle année.

La perméabilité entre les mondes
C’est l’autre grande croyance à la base de Samhain, car plusieurs Mondes coexistent dans la culture celte. Samhain est une période sacrée, où les frontières entre les Mondes (celui des vivants, celui des morts et celui des Dieux) deviennent particulièrement perméables. C’est le meilleur moment de l’année pour la communication avec l’invisible, sous toutes ses formes. Alors, pour Samhain, guidé par les Dieux et les ancêtres, on venait demander la protection pour la nouvelle année, on brûlait ou on enterrait des branches pour se libérer du passé et de nos parts obscures, on communiquait avec les divinités, les morts, les fées et tout le petit peuple, des prophéties se révélaient…

HALLOWEEN, citrouilles et déguisements chez les anglo-saxons
Les origines d’Halloween
Halloween existe depuis moins de 200 ans, avec pour origine les contes et légendes des migrants Irlandais et Écossais fraîchement arrivés en Amérique. Là-bas, la Samhain gaélique devint peu à peu Halloween, juste la nuit du 31 octobre, et seulement depuis 1930 sous la forme qu’on connaît aujourd’hui. Le nom Halloween provient de All hallows eve, « le soir de tous les saints », car depuis le Moyen-Âge, l’Église britannique avait déjà tenté de remplacer la fête païenne de Samhain par la Toussaint.

Des costumes effrayants et « Des bonbons ou un sort ! »
La visite des esprits invisibles dans le monde des vivants devint la coutume le porte-à-porte des enfants en costume terrifiant. L’expression Trick or treat ! (« Un sort ou une sucrerie ! ») est de rigueur ; elle dérive d’une idée centrale à Samhain : si l’on honore les esprits, ils nous seront favorables, mais si on ne leur rend pas hommage, ils sauront attirer sur nous le mauvais sort. On dit aussi que les déguisements macabres d’Halloween proviennent de l’intention d’effrayer les fantômes mal-intentionnés venus hanter les vivants lors de cette nuit magique.

Des citrouilles comme lanternes
Quant à Jack-o’-lantern, la citrouille creusée en photophore montrant un visage d’épouvante, elle était à l’origine un gros navet ! Elle provient de la légende de Jack, un maréchal-ferrant à la vie de débauche ayant déplu au Diable de son vivant, et se voyant évidemment refuser les portes du Paradis. Il se retrouva condamné à errer sur Terre chaque nuit du 31 octobre, avec pour seul guide une lanterne creusée dans un navet… Navet qui deviendra, dans la coutume d’Halloween, une citrouille (plus facile à trouver et à creuser) représentant elle-même le visage maléfique de Jack !

La fonction psychique et spirituelle d’Halloween
Toutes ces traditions d’Halloween, aujourd’hui devenues très commerciales, proviennent pourtant d’un processus bien plus profond : le besoin de nos ancêtres d’apprivoiser la mort, à l’approche de la rudesse, de l’obscurité et des risques de l’hiver dans ces époques reculées. Froid, épidémies mortelles, famine… De nos jours, même si l’hiver ne rime plus avec les mêmes difficultés concrètes, nous ressentons toujours psychologiquement et symboliquement cette descente vers la saison sombre. Le besoin de confiance en l’avenir, de force et de soutien perdure.

DIA DE LOS MUERTOS, la visite des ancêtres mexicains
Une fête de la Mort aussi ancienne que populaire
2 jours après la nuit de Samhain / Halloween se déroule la fête des morts, au Mexique. Le Dia de Los Muertos (« jour des morts ») est l’une des fêtes les plus importantes dans la culture mexicaine, inscrite au Patrimoine culturel immatériel de l’humanité à l’UNESCO ! Walt Disney y a même consacré un dessin animé, Coco, qui a encore plus popularisé dans le reste du monde cet évènement déjà fascinant par son folklore coloré. Issu d’un syncrétisme entre des coutumes anciennes de 3000 ans des peuples méso-américains et la tradition catholique de la Fête des Morts, c’est le moment de l’année où l’on honore les ancêtres.

3 jours pour honorer les morts puis les guider vers l’au-delà
Dia de Los Muertos est en réalité une période de 3 jours. La nuit du 31 octobre est consacrée à honorer les enfants défunts, les angelitos (« petits anges »). On leur rend visite dans les cimetières et on leur rend hommage dans les maisons, puis le matin du 1er novembre, c’est le petit déjeuner des angelitos. Le reste de cette journée est dédié aux offrandes pour les adultes décédés. Enfin, le 2 novembre (jour de la Fête des Morts catholique), on festoie en mémoire de tous les défunts, on chante et on organise des processions. Ce dernier jour porte aussi l’intention de raccompagner les morts vers leurs tombes et les âmes vers l’au-delà, afin qu’elles ne restent pas dans l’errance sur Terre. Puis les frontières entre les Mondes seront rétablies.

Honorer joyeusement la visite des ancêtres
Ce jour-là, les morts rendent visite aux vivants. Les portes de l’au-delà sont grandes ouvertes, particulièrement pour les ancêtres dont la mémoire est honorée par leurs descendants. Pour cela, on organise des pique-niques dans les cimetières et on dépose de l’alcool, des cigarettes, des objets personnels et les plats préférés des défunts sur leur tombe ou sur les autels des foyers, à côté de leur portrait. On met aussi des bougies en offrande : blanches pour les tombes d’enfants, oranges pour les adultes. Les sépultures, les maisons et les villes sont joyeusement décorées sur le thème de la mort : sucreries en forme de crânes (les calaveras), guirlandes de papier découpé (papel picado) représentant des squelettes dans des scènes de vie, photophores et fleurs colorées partout… On chante, on festoie, on reçoit en grande pompe les âmes des ancêtres !

Le sens profond du Dia de Los Muertos
Toutes ces traditions pleines de vie et pourtant dédiées aux morts servent à la fois à assurer une belle vie dans l’au-delà, et à attirer leur bénédiction protectrice aux vivants. On retrouve encore l’idée d’apprivoiser la mort, de dédier un temps à honorer le passé tout en acceptant la perte des êtres aimés, et de se familiariser avec notre propre mort en faisant du cimetière un lieu de fête. Bien au contraire d’un espace de tabou et de silence, la mort devient un moment joyeux de l’existence, un passage moins effrayant vers une autre vie, un au-delà qui n’a rien de sinistre. On accepte mieux la mort si l’on sait que notre vie restera dans les mémoires et que notre âme sera toujours la bienvenue parmi nos proches, une fois par an pendant le Dia de Los Muertos… Et raccompagner les âmes vers l’au-delà permet de libérer les esprits dont on pense qu’ils hantent le monde des vivants.

TOUSSAINT et JOUR DES MORTS, deux fêtes chrétiennes différentes
1er novembre : la Toussaint, fête des Saints
Dans les parties du monde où la chrétienté domine, la Toussaint est souvent confondue avec le Jour des Morts. En France par exemple, le jour de la Toussaint (1er novembre) étant férié, on a pris l’habitude de déposer ce jour-là des fleurs sur les tombes de nos chers disparus. Mais en réalité, la Toussaint n’est pas un jour de commémoration des Morts mais de tous les Saints (d’où le nom de « Toussaint »). Les Saints sont des êtres qui ont été incarnés, et que l’église a sanctifiés en hommage de leur vie vertueuse. La plupart sont des martyrs : des personnes qui se sont sacrifiées pour le bien ou pour leurs prochains, d’une façon ou d’une autre, ou qui ont été tués parce qu’ils refusaient de renier leur foi. Ils sont célébrés par des messes et des processions religieuses. On peut alors, par la prière, leur demander de faciliter l’obtention de nos vœux.

2 novembre : le Jour des Morts, commémoration de nos disparus
Le lendemain de la Toussaint, le 2 novembre, correspond au Jour des Morts, ou des « fidèles défunts ». C’est le jour originellement consacré à honorer nos proches décédés, à fleurir leurs tombes, à se remémorer les belles choses vécues ensemble et à accompagner nos aimés vers la Lumière. Proche dans l’idée du Dia de Los Muertos, le Jour des Morts n’en a pourtant ni la joie ni les couleurs ! L’ambiance est plutôt au recueillement, et parfois même au deuil ou aux regrets. Toutefois, on peut aussi en faire un jour de retrouvailles ; c’est encore l’occasion pour certaines familles d’aller fleurir ensemble les tombes de leurs aïeux – même s’ils le font, en fait, le jour de la Toussaint !

7 idées simples pour célébrer Samhain et les autres fêtes de la Mort
Faites un autel des beaux souvenirs
Peut-être qu’un tour au cimetière ne vous fait pas très envie, et ça peut se comprendre : difficile d’y fêter la Mort joyeusement en y célébrant un Dia de Los Muertos à la Mexicaine ! Mais vous pouvez réaliser, chez vous et tout en douceur, un autel éphémère en l’honneur de vos chers disparus. Déposez-y pour quelques jours des photos, des objets qui vous rappellent ce ou ces être.s aimé.s, des décorations et offrandes de saison (feuilles mortes, pommes, branches, etc.). Ajoutez-y ce qui vous inspire, selon votre sensibilité. N’oubliez pas d’y allumer une bougie de Libération, qui éclairera le chemin aux âmes. Puis prenez un temps pour vous remémorer les bons moments passés ensemble. Accueillez vos souvenirs, non-pas pour y rester enfermé.e.s mais pour y trouver de la joie ; vous aiderez alors les âmes à se libérer de leur ancienne vie terrestre. Honorer positivement la mémoire des défunts peut vraiment nous aider à avancer dans le deuil et à mieux accepter le cycle de la Vie.

Un nouveau feu pour un nouveau cycle
Si vous avez une cheminée (sinon, un barbecue fera l’affaire !), vous pouvez vous inspirer des Druides : c’est le moment de nettoyer à fond le foyer, pour qu’il ne reste aucune cendre. Symboliquement, il s’agit de ne garder aucun résidu de l’année qui se termine. Vous allez entrer dans le temps de la gestation hivernale, alors faîtes place nette. Puis préparez avec soin un nouveau feu, que vous n’allumerez qu’à minuit le 31 octobre. En conscience, vous allumerez une nouvelle flamme, que vous visualiserez comme une énergie toute neuve pour l’année naissante !

Enterrez les branches mortes du passé
Comme les feuilles tombent en Automne et se recyclent en terre durant l’hiver, vous pouvez, à l’image des Celtes, rendre à la Terre ce dont vous avez encore à vous débarrasser en cette fin d’Automne, afin que la Terre-Mère puisse “composter” votre passé pour en faire le terreau de l’avenir. En visualisant cette intention, écrivez sur une branche (ou sur du papier) ce qui vous encombre, et allez l’enterrer dans la nature. Lâchez-prise, faîtes confiance à la Terre et à votre inconscient : vous vous libérez d’un poids, mais dans l’invisible, vos expériences sauront nourrir et éclairer votre Mission de vie.

Développez vos facultés subtiles
Que vous l’appeliez Samhain, Halloween ou Dia de Los Muertos, la fête de la Mort est une période magique, où les portes entre les Mondes sont grandes ouvertes. C’est le moment d’exercer vos facultés subtiles, et de vous tourner vers l’avenir avec le soutien de l’invisible ! Pendant ces jours très particuliers, vous recevrez plus facilement la guidance, qu’elle viennent de vos dieux, de votre ange-gardien, des esprits, etc. (Lisez notre article sur les Guides !) Alors durant la nuit du 31 octobre, méditez et écoutez ce qui vient, faites un tirage de cartes, de la divination, un rituel pour demander conseil… Selon votre envie, votre sensibilité et vos croyances, trouvez votre meilleure façon de percer les mystères de l’invisible, qui sera à portée de main.

Travaillez sur votre lignée ou avec vos ancêtres
Dans certains chamanismes, le 1er novembre est le Jour de la Rencontre avec les Ancêtres. Un moment idéal pour célébrer vos ancêtres par un rituel, ou pour faire un travail énergétique sur votre lignée. Vous pouvez pratiquer un “rituel de libération de la lignée” pour vous alléger des poids intergénérationnels (à trouver sur internet, dans un livre ou avec une aide professionnelle), ou entrer en contact avec vos ancêtres (seul.e ou avec l’aide d’un chaman, médium ou autre). Rendez aux morts ce qui leur appartient et que vous ne voulez plus porter, nettoyez l’énergie de votre lignée, et revenez parmi nous avec les trésors (conseils, apprentissages, aptitudes) que vos ancêtres vous offriront.

Des bougies pour vous protéger et guider les âmes
Dans de nombreuses cultures, il est de coutume d’allumer des bougies pendant la nuit du 31 octobre au 1er novembre. Pendant cette nuit mystérieuse, leur lumière est là pour vous protéger de l’obscurité et des esprits errants, mais aussi pour guider vers l’au-delà les âmes en visite dans le monde des vivants. Pendant ce passage à la saison sombre, leurs flammes brillant dans l’ombre seront aussi à l’image de votre lumière intérieure qui restera bien vivante durant l’obscurité de l’hiver. Alors éteignez les éclairages électriques, et profitez d’un temps à la lueur des bougies pour vous connecter à ces 3 intentions : votre protection, la guidance des esprits, et votre feu intérieur. Vous pouvez aussi disposer des photophores à vos fenêtres, pour vous relier à tous les autres vivants qui accueillent aussi les énergies de cette nuit si particulière.

Conjurez la Mort : décorez, déguisez-vous, amusez-vous !
Si Halloween vous attire, adoptez en conscience ses traditions ! En accompagnant des enfants au porte-à-porte, visualisez que vous représentez et honorez les esprits en visite dans notre monde. En vous déguisant de façon macabre ou en décorant votre maison sur le thème de l’épouvante, imaginez que vous effrayez et repoussez les âmes tourmentées qui pourraient vous nuire pendant cette nuit. Et en vous amusant, vous apprenez à accepter l’idée de la Mort comme une fête, un simple passage naturel ! C’est le cycle de la Vie, alors autant le vivre dans la joie…

La fin de la journée du 2 novembre viendra refermer les frontières entre les mondes, et clore ces 72 heures où le mystère aura été à notre portée. Nous serons entré.e.s dans la saison sombre, avec pour mission de cultiver notre intériorité et de renforcer nos racines jusqu’à l’arrivée du printemps.
Nous vous souhaitons de trouver votre façon d’apprivoiser la Mort et de marquer ce passage, pour entrer dans les mois d’Hiver avec confiance et espoir en l’avenir !
Et souvenez-vous, les miracles arrivent !
Brume énergétique FACULTÉS SUBTILES
12,80 €
Rupture de stock
Amulette d’intention GUIDANCE
28,50 €
Rupture de stock
Grande bougie énergétique PROTECTION
18,50 €
Rupture de stock
Fiole bénéfique ÉLÉVATION VIBRATOIRE
12,50 €
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Bougie énergétique LIBÉRATION
9,50 €
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Grande bougie énergétique SORCIÈRE
18,50 €
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Brume énergétique PROTECTION
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Bâton de fumigation PURIFICATION
9,60 €
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